L’article « univers » d’aujourd’hui s’intéresse aux cultes de Lore & Legacy. Les peuples d’Empyréa ont certes des croyances et des religions, mais cela ne signifie pas que leurs dieux existent réellement. C’est un univers de science-fantasy, après tout. Mais la nature de la magie empyréenne fait que des esprits « avatars » de ces dieux peuvent apparaître, si suffisamment d’individus croient en eux…

Les ælfyns n’ont pas de dieux, mais croient que chaque individu possède une âme immortelle, appelée aria. Cette âme se réincarne après la mort, mais garde des bribes de souvenirs de sa vie passée, qu’elle serait capable de se remémorer en rêve. Du moins, si l’on en croit la légende ! À noter que pour un ælfyn, la récompense ultime d’une vie vertueuse est d’être réincarné… en fælys ! (Une sorte de chat-écureuil, et l’un des rares exemples d’animal d’origine xénoplanétaire introduit dans l’écosystème empyréen par un des peuples.)

Les agamides possèdent un panthéon complexe d’une quarantaine de dieux et de déesses, représentant le plus souvent des conditions météorologiques. Parmi ceux-ci, citons Sitāvahak, “celui qui apporte le givre”, époux d’Anukivā, dieu des vents favorables. Ou encore Varsāganu, “celui qui fait chanter la pluie”, fils de Meghāgar, “la matrone des tempêtes”. Ces divinités ne font pas l’objet d’un culte organisé. Elles sont davantage traitées comme des esprits protecteurs auxquels les agamides font des offrandes pour s’attirer la bonne fortune. Chaque citadelle agamide possède également son dieu tutélaire.

La croyance centrale des dakti est l’idée que l’univers tout entier est une grande machine, le Systimion. Chaque monde, et chaque être, y est un rouage essentiel amené à jouer un rôle clé. Cette croyance est à l’origine de leur système politique actuel, qui ne place aucun dakti à une place supérieure à un autre.

Le culte de la déesse Uné, ou unéisme, est la principale religion humaine. Uné serait la déesse-mère ayant envoyé ses enfants humains à travers l’espace et les ayant guidés jusqu’à Empyréa. Apparue au cours des deux dernières siècles, cette croyance prône (avec plus ou moins de succès…) la fraternité entre les peuples, la compréhension et le respect mutuels, le droit à la détermination personnelle et l’égalité entre tous les individus. Les origines de l’unéisme ont été oubliées, mais difficile de ne pas remarquer que les lettres majuscules UNE apparaissent sur la carcasse des modules colonisateurs originels, depuis longtemps reconvertis en temples dédiés à la déesse…

Les orcs croient en une déesse de la nature, Améséké, la mère de toute vie. Pour eux, la vénération de cette entité passe par le respect de l’environnement et des êtres vivants. Ils doivent également effectuer une grande “Transhumance”. Chaque orc doit entreprendre ce voyage à travers Empyréa au moins une fois dans sa vie pour élargir ses horizons. De nombreux orcs Francs-Lanciers ont rejoint l’organisation dans cette optique.

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